Ces applications d’argent mobile fonctionnent sur des technologies personnalisées, une infrastructure mondiale partagée extrêmement gaspillée, capable de transférer de la valeur et de représenter la propriété. Cela permet aux développeurs de créer des marchés, de stocker des registres de dettes ou de promesses, de transférer des fonds conformément aux instructions données dans le passé (comme un testament ou un contrat à terme) et de nombreuses autres choses qui n’ont pas encore été inventées, le tout sans intermédiaire ni autre. risque de contrepartie.

Construire avec KYC et AML une architecture puissante pour l’infrastructure financière mondiale existante est composée de systèmes régionaux et nationaux fermés qui ne communiquent pas facilement. Cela est dû à la diversité des réglementations financières et bancaires, de la technologie, des infrastructures et des devises dans différentes régions géographiques. L’envoi et la réception de paiements via ces systèmes disparates nécessitent du temps et rencontrent de nombreux points de friction, ce qui entraîne des services de transferts coûteux et géographiquement limités, proposés par les banques. Historiquement, les services de transfert de fonds tels que Western Union et Moneygram ont dominé ce créneau, offrant davantage d’emplacements physiques. Western Union opère dans 200 pays et territoires avec plus de 500 000 agences.